Delvau, 1866 : s. m. Absinthe de cabaret, — dans l’argot des bohèmes, qui n’en sont que plus coupables puisqu’ils boivent obstinément un liquide dont ils connaissent les désastreux effets. J’ai entendu demander par un ivrogne un verre de sulfate de cuivre et j’ai vu le garçon lui apporter un verre d’absinthe. Empoisonneurs et empoisonnés rient de leur poison. C’est parfait !
France, 1907 : Absinthe. « J’ai entendu demander, dit Alfred Delvau, par un ivrogne un verre de sulfate de cuivre, et j’ai vu le garçon lui apporter un verre d’absinthe. Empoisonneurs et empoisonnés riant de leur poison, c’est parfait ! »